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salut a tous senter vous comme chez vous quel que soi votre race bien venu a bord 25 août, 2009 posté dans exercices de factorisation de polynommes , mathematique premiere exercice 1 factoriser h(x) = x² – x – 2 aide : calculer h(2) exercice 2 factoriser r(x) = x³ + 2x² – 5x – 6 aide : calculer r(2) a³ – b³ = (a – b)(a² + ab + b²) exercice 3 factoriser a(x) = 2x² + 10x – 3 commentaires(0) -- protégé : 12 septembre, 2009 posté dans correction sur les barycentre cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. -- 12 septembre, 2009 posté dans exercices sur les barycentre exercice 1 a et b sont deux points distincts. construire, s’il existe, le barycentre : 1. g des points pondérés (a; 1) et (b; 3). 2. h des points pondérés (a; 2) et (b; 2). 3. j des points pondérés (a; - 1) et (b; 2). 4. k des points pondérés (a; - 2) et (b; - 6). 5. l des points pondérés (a; - 2) et (b; 2). exercice 3 soit a et b deux points tels que ab = 4. on considère le barycentre g de (a; 1) et (b; 3) et le barycentre k de (a; 3) et (b; 1). 1. exprimer les vecteurs et en fonction de . placer sur un dessin les points a, b, g et k. 2. montrer que les segments [ab] et [gk] ont le même milieu. repère (o; , ), on considère les points a(1 ; 1) et b(5 ; 3). 1. calculer les coordonnées du barycentre g de (a ; 2) et (b ; 1). 2. déterminer des réels a et b tels que h(-1 ; 0) soit le barycentr exercice 6 soit truc un quadrilatère. on désigne par k, l, m, n les milieux respectifs de [tr], [ru], [uc], [ct] et par g l’isobarycentre des quatre points t, r ,u et c. prouver que g est le milieu de [km] et de [nl]. que peut-on dire du quadrilatère klmn ? exercice 5 soit abc un triangle, a’, b’, c’ les milieux respectifs de [bc], [ac], [ab] et g le barycentre des points pondérés (a;1), (b;1) et (c;1). 1. montrer que g est le barycentre de (c; 1) et (c’; 2). 2. en déduire la position de g sur le segment [cc']. 3. démontrer que g appartient à [bb'] et à [aa']. que peut-on en déduire ? exercice 4 soit quad un quadrilatère. construire le barycentre g de (q; 1), (u; 1), (a; -2) et (d; -1). soit a et b deux points tels que ab = 4. on considère le barycentre g de (a; 1) et (b; 3) et le barycentre k de (a; 3) et (b; 1). 1. exprimer les vecteurs et en fonction de . placer sur un dessin les points a, b, g et k. 2. montrer que les segments [ab] et [gk] ont le même milieu(a ; a) et (b; b). 3. peut-on trouver a et b tels que o soit le barycentre de (a; a) et (b; b)? commentaires(0) -- protégé : 12 septembre, 2009 posté dans cours sur les barycentre cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. -- 9 septembre, 2009 posté dans non classé commentaires(0) -- 4 septembre, 2009 posté dans correction polynomes fractions rationnelles correction exercice 1 1. n’est pas définie si les dénominateurs s’annulent, c’est-à-dire : calculons le discriminant : = b² – 4ac = 1 – 4 × (-2) = 9 le polynôme admet donc deux racines : et donc les deux valeurs interdites liées au polynôme sont -2 et 1. d’où : d f = \{-2; -1; 1} 2. d’après la question précédente, nous pouvons en déduire : 3. a) le dénominateur commun aux fractions rationnelles et est donc : , donc s’écrit également : nous avons donc : 3. b) une racine évidente de g est 1, car 2 + 4 – 3 – 3 = 0 g( ) est donc factorisable par et, comme l’écriture polynômiale est unique, g peut s’écrire : déterminons a, b et c : identifions les coefficients à l’aide des équations suivantes : a = 2 b – a = 4 b = 4 + a b = 6 -c = -3 c = 3 vérifions : c – b = 3 – 6 = -3 d’où : pour tout réel , 3. c) on peut donc en déduire que s’écrit : pour tout réel appartenant à d f , , soit résolvons l’équation = 0 : l’ensemble de définition de cette équation est \{-1; 2}. utilisons la méthode du discriminant : = b² – 4ac = 9 – 4 × 1 × = 9 – 6 = 3 les deux racines sont donc : . elles appartiennent toutes deux à l’ensemble de définition de l’équation. d’où : les solutions de l’équation = 0 sont : exercice 2 le volume d’un cube de coté a pour valeur . additionnons les volumes des trois cubes ayant pour arêtes et appelons v ce volume : calculons le volume v’ du cube ayant pour arête : on recherche tel que v = v’, soit : 3 est une racine évidente de , donc s’écrit également car l’écriture polynômiale est unique. développons : identifions les coefficients : a = 1 b – 3a = 0 b = 3 -3c = -9 c = 3 c – 3b = 3 – 3 × 3 = -6 on en déduit : factorisons par la méthode du discriminant : = b² – 4ac = 9 – 4 × 1 × 3 = -3 étant négatif, est toujours du signe de a : positif. ce polynôme n’admet pas de racine réelle. (1) peut s’écrire : , ce qui équivaut à = 3. pour que le contenu des trois cubes d’arêtes remplisse exactement le cube d’arête , il faut que x soit égal à 3 . commentaires(0) -- protégé : 4 septembre, 2009 posté dans fonctions de type polynomes cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. -- 4 septembre, 2009 posté dans critique de madame bovary par george sand critique de madame bovary par george sand … on parla d’un livre qui a fait grande sensation dernièrement, madame bovary, roman de m. gustave flaubert. dès l’apparition de ce livre remarquable, dans notre petit coin, comme partout, je crois, on s’écria : – voici un spécimen très frappant et très fort de l’école réaliste. le réaliste existe donc, car ceci est très neuf. mais, en y réfléchissant, nous trouvâmes que c’était encore du balzac (tant mieux assurément pour l’auteur), du balzac expurgé de toute concession à la bienveillance romanesque, du balzac âpre et contristé, du balzac concentré, si l’on peut parler ainsi. il y a là des pages que balzac eût certainement signées avec joie. mais il ne se fût peut-être pas défendu du besoin de placer une figure aimable ou une situation douce dans cette énergique et désolante de la réalité. m. gustave flaubert s’est défendu cruellement jusqu’au bout. il a voulu que la femme dédaigneuse du réél fût folle et méprisable ; que le mari voué au réél fût d’une déplorable stupidité, et que la réalité ambiante, maison, ville, campagne, voisins, amis, tout fût écoeurant de bêtise, de laideur et de tristesse, autour de ces deux personnages infortunés. la chose est exécutée de main de maître, et pareil coup d’essai est digne d’admiration. il y a dans ce livre un douloureux parti pris qui ne se dément pas un instant, preuve d’une grande force d’esprit ou de caractère, preuve, à coup sûr, d’une grande netteté de talent. est-ce un parti pris à jamais et à tous égards ? nous n’en savons rien, car est-il croyable que l’auteur ne soit pas emporté par lui-même dans une sphère moins désolée, et qu’il ne fasse point agir et parler la passion vraie, la bonté intelligente, les sentiments généreux ? nous espérons bien qu’il le fera. mais il est certain que son brillant début le place, je ne dirai pas à la tête d’une école nouvelle, mais sur le pied d’une individualité très entière et très prononcée, dont l’action semble vouloir se porter sur la recherche du fatalisme. il l’analyse dans ses causes, dans sa marche et dans ses résultats avec une rare puissance. il emble qu’il raconte une histoire arrivée sous ses yeux, et que son unique but soit de vous faire dire : il ne pouvait en être autrement. on s’est alarmé à tort, suivant nous, de la moralité de l’oeuvre. tout au contraire, le livre nous a paru utile, et tous, en famille, nous avons jugé que la lecture en était bonne pour les innombrables madame bovary en herbe que des circonstances analogues font germer en province, à savoir les appétits de luxe, de fausse poésie et de fausse passion que développent les éducations mal assorties à l’existence future, inévitable. la leçon sera-t-elle aus